16 octobre 2009
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Dans l'émission d'Yves CALVI , 4 invités : 2 métros et 2 antillais de métropole ; en gros , les 2 métros sont pour le "OUI" (ça ne leur coûte guère) et les deux originaires des Antilles sont perplexes , cherchant à discerner les arrières pensées du pouvoir et des élus concernés .
Je retiens cette réflexion de Michel GIRAUD , que l'on demande aux martiniquais et guyanais de voter pour une enveloppe dont ils ne connaissent pas le contenu . Et cette autre affirmation du même que les changements statutaires et/ou institutionnels éventuels n'auront qu'un effet marginal sur les vrais problèmes .
En fait , ils n'auront que des effets négatifs , en minant la confiance des investisseurs et en faisant fuir non seulement les capitaux mais aussi les compétences .
Mon premier sentiment est que les métros ne comprennent rien aux DOM , ce qui s'explique facilement vue la désinformation générale et les "a priori", les poncifs véhiculés par les media .
Mon second sentiment et que les antillais de métropole ont aussi perdu le contact avec les Antilles réelles , celles qui se lèvent le matin pour bosser dans les entreprises , pas celles qui vivent de l'assistanat , qui glandent dans les administrations ou défilent sur les boulevards .
Revoir l'émission :
http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_rubrique=1276
Je retiens cette réflexion de Michel GIRAUD , que l'on demande aux martiniquais et guyanais de voter pour une enveloppe dont ils ne connaissent pas le contenu . Et cette autre affirmation du même que les changements statutaires et/ou institutionnels éventuels n'auront qu'un effet marginal sur les vrais problèmes .
En fait , ils n'auront que des effets négatifs , en minant la confiance des investisseurs et en faisant fuir non seulement les capitaux mais aussi les compétences .
Mon premier sentiment est que les métros ne comprennent rien aux DOM , ce qui s'explique facilement vue la désinformation générale et les "a priori", les poncifs véhiculés par les media .
Mon second sentiment et que les antillais de métropole ont aussi perdu le contact avec les Antilles réelles , celles qui se lèvent le matin pour bosser dans les entreprises , pas celles qui vivent de l'assistanat , qui glandent dans les administrations ou défilent sur les boulevards .
Revoir l'émission :
http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_rubrique=1276